Une autre bonne raison de passer par Montréal... les soirées slam organisées par Ivy. Trois règles sont à respecter: les textes doivent être originaux, le slam ne doit pas dépasser 3 minutes et aucun accessoire visuel ni sonore n'est permis. On y entend de tout, mais surtout ... des mots, et parfois, de ceux qui font de belles phrases. Une poésie lancée directement, à voix haute. Par des gens -toujours différents- et pour des gens -toujours différents-. Brute et simple. Franche. Et c'est le risque que prennent ceux qui écrivent et livrent qui fait que ce n'est jamais ni trop naïf ni trop maladroit. Et puis, parfois, on est surpris par un texte qui touche. Et pour ces moments là, moi (qui aime la poésie sans trop oser le dire, qui aime les mots pour les mots, et pour les sons et les images et pour tout ce qu'ils réveillent) je donnerais bien une année de plus à la ville. La moitié, au moins, de la magie de ces soirées revient à la qualité de l'audience. Qualité d'écoute et d'ouverture. On y vient pour découvrir. Il y en a, des choses à apprendre, d'une ville comme celle-ci, où il semble qu'il y a de la place pour tout, et tous. Et, donc, dans ma liste des choses à faire avant de quitter la ville, entre "pic-niquer sur le Mont-Royal" et "passer à la cinérobotèque", il y avait "oser faire un slam au Patro Vys". Chose qui fut faite (avec un peu de trac, deux irréductibles fans et beaucoup de bonheur) le dix mai passé. Et, comme les Montréalais sont curieux, ils veulent me réentendre le 14 juin. Je vous donnerai des nouvelles...
20 mai 2010
SlaMontreal
Une autre bonne raison de passer par Montréal... les soirées slam organisées par Ivy. Trois règles sont à respecter: les textes doivent être originaux, le slam ne doit pas dépasser 3 minutes et aucun accessoire visuel ni sonore n'est permis. On y entend de tout, mais surtout ... des mots, et parfois, de ceux qui font de belles phrases. Une poésie lancée directement, à voix haute. Par des gens -toujours différents- et pour des gens -toujours différents-. Brute et simple. Franche. Et c'est le risque que prennent ceux qui écrivent et livrent qui fait que ce n'est jamais ni trop naïf ni trop maladroit. Et puis, parfois, on est surpris par un texte qui touche. Et pour ces moments là, moi (qui aime la poésie sans trop oser le dire, qui aime les mots pour les mots, et pour les sons et les images et pour tout ce qu'ils réveillent) je donnerais bien une année de plus à la ville. La moitié, au moins, de la magie de ces soirées revient à la qualité de l'audience. Qualité d'écoute et d'ouverture. On y vient pour découvrir. Il y en a, des choses à apprendre, d'une ville comme celle-ci, où il semble qu'il y a de la place pour tout, et tous. Et, donc, dans ma liste des choses à faire avant de quitter la ville, entre "pic-niquer sur le Mont-Royal" et "passer à la cinérobotèque", il y avait "oser faire un slam au Patro Vys". Chose qui fut faite (avec un peu de trac, deux irréductibles fans et beaucoup de bonheur) le dix mai passé. Et, comme les Montréalais sont curieux, ils veulent me réentendre le 14 juin. Je vous donnerai des nouvelles...
29 avril 2010
24 avril 2010
24 mars 2010
La fôret perdue
La forêt perdue, c'est le rêve des patineurs: des kilomètres de piste gelée, perdue dans les bois, pour tomber à l'abris des regards (enfin, de presque tous les regards).28 février 2010
24 février 2010
Fevrier au Parc Jean Drapeau
A la demande générale, et à celle particulière de Terence et Brigitte, me voilà de retour sur le blog, pour vous donner un aperçu, en quelques clichés, de ces derniers mois passés sous silence. Je suis bientôt de retour ... et le temps m'a manqué pour traduire en mots et en images l'effervescence du départ proche, mon adieu à la ville et les mille et une choses à y faire avant de la quitter...24 janvier 2010
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