Etait-ce le fait que c'était le mois de Juillet ou le week-end et que les Newyorkais avaient déserté la ville? Est-ce le fait qu'on est arrivé en train, que j'étais avec Philippe et qu'on a regardé la ville autrement et qu'on a passé notre première journée à se balader à Brooklyn? Toujours est-il que la ville m'est apparue moins agressive et plus humaine que la première fois. Les trottoirs vides. Les gens plus souriants. Le rythme plus lent. Agréable. Vivable.
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